Dans la mire > Du direct au courtage: découvrez Michel Laurin!
Michel Laurin obtient son baccalauréat en actuariat en 1985, année à laquelle s’est amorcée sa carrière en assurances IARD. Après avoir excellé dans différentes grandes entreprises à titre de gestionnaire, il devient président et chef de l’exploitation de l’Industrielle Alliance, Assurance auto et habitation. Au cours des 17 années qu’il y a passées, la compagnie passe d’un volume-primes de 40M $ à plus de 350M $. En septembre 2019, M. Laurin se joint au cabinet d’assurances Lussier Dale Parizeau à titre de président et chef de l’exploitation. Nous vous proposons d’en apprendre plus sur ce professionnel aguerri qui évolue désormais dans l’industrie du courtage.
Vous avez fait récemment le saut du monde du direct à celui du courtage. Quelle est la motivation derrière ce changement?
C’est pour moi l’opportunité de diriger une organisation bien de chez nous, qui a réussi avec brio à se hisser au 1er rang des cabinets de courtage au Québec, qui a motivé ma venue chez Lussier Dale Parizeau. Cette entreprise joue un rôle important comme cabinet d’assurance et de services financiers au Québec de par sa présence à travers la province, l’ampleur de sa clientèle et l’éventail diversifié des produits et services qu’elle offre.
Vous êtes entré en poste récemment chez Lussier. Comment voyez-vous votre rôle au sein de ce cabinet? Et quels sont vos défis à court terme?
En tant que président et chef de l’exploitation, mon rôle est de contribuer à réaliser la vision et la mission l’entreprise en instaurant des approches innovatrices et en ayant un rôle rassembleur et mobilisant auprès des équipes, suite aux nombreuses acquisitions des dernières années. C’est pour moi une grande fierté de pouvoir développer le très grand potentiel de cette entreprise à cette étape-ci de son histoire.
L'industrie du courtage d'assurance de dommages est en changement. Les règles du jeu sont remises en question tant sur le plan réglementaire qu'au niveau du marché. Qu’est-ce qui distinguera les entrepreneurs qui réussiront à tirer profit du nouveau contexte?
Le changement a été, est et sera toujours présent! La société évolue, les besoins et attentes des clients aussi et, à mon avis, remettre en question les règles du jeu fait partie inhérente de ces changements continus. La flexibilité d’une organisation et son ouverture d’esprit face à l’abandon du statu quo sera toujours son meilleur gage de succès.
Quelle est la plus grande force des courtiers selon vous?
Chaque mode de distribution a ses avantages; il s’agit de bien les faire valoir auprès du public et de les lui faire expérimenter concrètement. Un courtier a la capacité de répondre à un bien plus grand éventail de besoins d’assurance, peut proposer des options et alternatives à ses clients et est en mesure de donner un service plus personnalisé de par sa présence visible dans les communautés qu’il dessert.